histoire de la grèce antique résumé

Le colonel Papadhópoulos prend la tête du gouvernement, et le général Zoïtákis est nommé régent du royaume. La république, proclamée le 25 mars 1924, est confirmée en avril par un plébiscite, l'amiral Koundouriótis devenant président. L'effondrement de l'économie est tel qu'au 1er siècle av. J.-C.) : victoire, en Arcadie, du Thébain Épaminondas sur les Spartiates, au cours de laquelle il trouva la mort. Le terme de tyrannie n'implique, à l'origine, aucun jugement de valeur sur l'exercice du pouvoir, mais qualifie simplement un pouvoir absolu, établi et maintenu en dehors de toute légalité constitutionnelle. C'est probablement pendant ce « Moyen Âge grec » que se développe, à partir de légendes hétéroclites, l'épopée homérique[3]. J.-C. permettent à Athènes de devenir une démocratie, la première du monde antique. La domination romaine commence à partir de … Le retour d'Alcibiade (407) et la victoire aux îles Arginuses (406) lui permirent de rétablir la situation. Les auteurs de la Grèce Antique mêlent histoires et mythologie. Au milieu du XIXe siècle, elle passe de la tradition populaire à l'idéologie politique. La sociologie grecque a été liée aux évolutions sociopolitiques et idéologiques du xx e siècle en Grèce. J.-C.). La Grèce indépendante entre monarchistes et républicains (1832-1944), 4. Il est permis de se demander si ces luttes pour l'hégémonie, dans lesquelles elles s'étaient épuisées, n'étaient que l'expression de leur volonté de puissance ou si elles procédaient aussi de la conscience plus ou moins claire d'une nécessité : celle d'élargir le cadre de la cité, devenu trop exigu et inadapté. Les partis de droite se réorganisent, sous la direction du maréchal Aléxandhros Papághos, dans le Rassemblement hellénique, tandis que le fils de Venizélos forme une Union des centres. À l'extérieur, le « régime des colonels » est confronté à une nouvelle crise grave à propos de Chypre. J.-C.) : régent (359) puis roi de Macédoine (356-336). La situation intérieure est aggravée par les difficultés financières. B - L’AFFAIBLISSEMENT DE LA TUTELLE MACÉDONIENNE. Les villes évoluèrent en cités-états indépendantes, gouverné d’abord par des rois. Théodose II, sous l'influence de sa femme Eudoxie, une Grecque, fonde à Constantinople (l'Antique Byzance) une université grecque (425) et autorise à rendre les jugements en langue hellénique. Pendant cette période de recul, ces populations, si démunies qu'elles soient, innovent sur le plan technique : la céramique protogéométrique (maîtrisée surtout à Athènes et à Argos) utilise un tour plus rapide, la brosse multiple et le compas. La Grèce, qui a adhéré en février 1934 à l'Entente balkanique, est menacée par les ambitions de Mussolini depuis l'annexion de l'Albanie (avril 1939). Beaucoup viennent des couches moyennes de la population et sont un contrepoids en puissance dans les luttes politiques. Devant l'attitude de plus en plus menaçante d'Istanbul, il doit accepter, en novembre 1967, le principe du retrait de ses troupes de l'île, concurremment à celui des forces turques. Complots, séditions, massacres sont devenus monnaie courante selon Énée le Tacticien[37]. Au-delà des facteurs d'évolution communs à toute la Grèce et de la crise, très générale, de la société aristocratique, l'époque classique s'ouvre donc sur une Grèce aux visages très variés. Si Justinien ferme en 529 les écoles philosophiques d'Athènes – regardées comme un foyer de paganisme –, il publie nombre de ses décrets en grec. Cette Histoire du monde grec antique, qui tient compte des dernières découvertes, présente en un volume commode et maniable un panorama clair d'une civilisation éblouissante, depuis la préhistoire jusqu'à la transformation du monde grec en provinces romaines. Elle assura à Octavien, le futur Auguste, la domination du monde romain. La thèse classique veut que cette apparition de la monnaie ait développé une richesse mobilière entre les mains de commerçants ou d'artisans constituant bientôt une « bourgeoisie » capable de mettre en péril l'ancienne aristocratie. Ses plus fidèles admirateurs (tels Xénophon[38] ou Platon) dénonceront cet amour nouveau des richesses comme responsable de sa décadence. Alors que le combat homérique – une somme de duels entre des héros – exaltait la bravoure individuelle, la formation de la phalange implique un combat collectif, en rangs serrés. Olympie (en grec ancien : Ὀλυμπία / Olympia) est l'un des grands centres religieux de la Grèce antique.Il est situé dans le Péloponnèse, en Élide, sur la rive droite du fleuve Alphée et au pied du mont Cronion.. Plus encore que les Macédoniens, les Romains brisent toute velléité d'opposition en réprimant impitoyablement leurs ennemis, comme en témoignent la destruction de Corinthe en 146 av. Lieutenant de Marius, qu'il rejoignit en Afrique, il se fit livrer Jugurtha par le roi de Mauritanie Bocchus (105). J.-C.), plusieurs formes de gouvernement sont possibles dans une cité :La monarchie a presque partout disparu, même si, dans certaines cités, des magistrats portent encore le titre de roi, comme à Sparte. La conquête des terres grecques par les Turcs n'est cependant pas achevée en 1456 : l'empire de Trébizonde survivra jusqu'en 1461 ; Rhodes tombera seulement en 1522, Chypre en 1571, la Crète en 1669, Tínos en 1715 ; quant aux îles Ioniennes, elles échapperont presque totalement aux Ottomans. Le conflit entre Rome et la Macédoine éclate lorsque Rome établit une tête de pont sur l'Adriatique orientale après deux expéditions contre les pirates illyriens[53] (229-228, 219 av. Histoire de la Grèce antique . J.-C.), A - LA GRÈCE AU TEMPS DES CONQUÊTES D’ALEXANDRE. J.-C.) et d'Actium[58] (31 av. [55] Sulla ou Sylla : ou SYLLA (Lucius Cornelius), général et homme d'État romain (138 - Cumes 78 av. À Constantinople, les Grecs du quartier du Phanar – les Phanariotes – s'enrichissent et forment une bourgeoisie influente jusque sur le gouvernement, qui leur abandonne certaines fonctions, comme celle de drogman (interprète) de la Porte ou Sublime Porte – nom donné autrefois au gouvernement ottoman. Solidement rattachée, au nord, au corps de la péninsule balkanique, elle s'émiette, vers le sud, en une série de massifs montagneux (2 917 m à l'Olympe) et de... La Grèce compte aujourd'hui 11,128 millions d'habitants. Favorisée par sa position géographique, sa richesse commerciale et son alliance avec l'Égypte, Rhodes[52] est la seule cité grecque de la fin du IIIe siècle av. Les premières civilisations en Grèce furent la civilisation des Cyclades, minoenne et mycénienne (soit de 2700 à 1200 avant notre ère). Dépossédé illégalement de son commandement par Marius, il s'empara de Rome avec son armée, tandis que Marius, mis hors la loi par le sénat, s'exilait en Afrique. La Crète ferme, au sud, cette véritable mer intérieure, voie principale de tous les contacts. Stefanópoulos démissionne en décembre 1966, et le roi appelle Joánnis Paraskevópoulos à former un cabinet avec des personnalités extraparlementaires. Mais cette intervention maladroite renforce l'influence russe, d'autant que le tsar s'est entremis pour faire admettre au sultan l'indépendance administrative de l'Église grecque. Après avoir formé un cabinet Dhemerdzís, le roi laisse le général Metaxás abolir la Constitution de 1927, dissoudre le Parlement et établir une dictature, qu'il exercera de 1936 à sa mort (1941). L'alliance conclue face au danger perse ne survit pas à la victoire ; celle-ci, d'abord et surtout athénienne, marque le début d'un processus qui, en quelques décennies, va faire de la cité attique la maîtresse du monde égéen. Alcibiade[33] dirige alors la politique athénienne et conclut une alliance avec les Argiens, qui avaient été battus par Sparte à Mantinée, en 418. À l'été et à l'automne de 1968, une forte opposition se manifeste : un attentat contre le colonel Papadhópoulos est organisé par un militant centriste, Alékas Panaghoúlis ; le 3 novembre, une manifestation hostile se déroule à Athènes, à l'occasion des obsèques de Gheórghios Papandhréou. La richesse se concentre aux mains de quelques-uns, et le marché des exportations se rétrécit du fait de la concurrence des nouvelles communautés gréco-orientales. Il serait à l'origine du décret qui, en interdisant les marchés de l'Attique et les ports de la Confédération aux Mégariens (de la ville de Mégare sur l'isthme de Corinthe. Ainsi firent les aisymnètes (présidents de commissions juridiques) dans les riches cités grecques d'Asie Mineure (Épimènes de Milet, Pittacos de Mytilène ou Aristarque d'Éphèse), Charondas de Catane et Zaleucos de Locres en Occident, Dracon[14] en 621 puis Solon au début du VIe siècle à Athènes et, beaucoup plus tôt peut-être, Lycurgue[15] à Sparte. [36] Les Trente : nom donné aux trente membres d'un conseil oligarchique imposé par les Spartiates aux Athéniens (404 av. Le IVe siècle est troublé aussi par les combats continuels que se livrent les cités les plus importantes – Sparte et Athènes bien sûr, mais aussi Thèbes – pour prétendre au commandement en Grèce : assez fortes pour conquérir l'hégémonie – au besoin avec l'aide des Perses –, elles sont trop faibles pour la conserver. Sous la poussée des Huns (v. 375), ils pénétrèrent dans l'Empire romain. En 1768, la tsarine Catherine II entre en guerre contre la Turquie et envoie sa flotte sur les côtes de Morée ; la lutte s'achève par le traité de Kutchuk-Kaïnardji (juillet 1774), qui établit le protectorat russe sur les orthodoxes de Moldavie et Valachie, et permet aux bateaux grecs de naviguer sous pavillon russe. [65] Peuple de la Germanie ancienne. Le pays semble peu fait pour retenir les hommes, avec un relief montagneux (80 % de la superficie totale) et compartimenté, et des petites plaines mal reliées entre elles. La proclamation, en 196 av. J.-C.). Le conflit s'achève en 446 en raison des multiples problèmes intérieurs rencontrés par chacune des cités. Nous savons qu'Homère, Sophocle, Platon et tant d'autres sont aux origines de la culture occidentale. Les cités détruites (Corinthe et Patras) retrouvent vie grâce à l'établissement de colonies romaines, et Auguste fonde une ville nouvelle à Nicopolis[60]. C'est Alexandre[48] qui, après l'assassinat de son père, en 336, reprendra ce dessein et lui donnera l'ampleur que l'on sait. Une nouvelle vague d’envahisseurs, les doriens, introduisit l’usage du fer, qui redonna un nouveau souffle à la vie urbaine. Un nouveau gouvernement, présidé par Kostandínos Kóllias (avec le général Pattakós comme ministre de l'Intérieur et le général Spandidhákis comme vice-Premier ministre et ministre de la Défense), prête serment devant le roi. La situation est sauvée par le tsar Nicolas Ier, le cabinet britannique de George Canning et le ministère français de Villèle, qui s'entendent, à Londres, pour exiger l'autonomie de la Grèce (juillet 1827). [8] Polémarque : Chez les anciens Grecs, commandant d'armée. Elle impose les principes de solidarité, d'égalité dans le rang et d'interchangeabilité. Elle est la conclusion d'un congrès convoqué par le Macédonien et réunissant à Corinthe toutes les cités ; ce pacte d'alliance réunit la plupart des cités et des peuples de la Grèce autour de Philippe, son hégémon (son « guide »). J.-C.) ; il se transforme en véritable guerre (première guerre de Macédoine, 215-205 av. Celui-ci confie la direction du gouvernement au général Plastíras (janvier 1945). Ainsi, associée à la ligue Achéenne, la monarchie met fin au régime révolutionnaire de Sparte (221 av. J.-C. [11] Solon : homme d'État athénien (v.  640 - v. 558 av. Le 20 mai, l'île est attaquée par les parachutistes allemands. Pour améliorer la situation économique, son ministre Markezínis dévalue la drachme (avril 1953) et signe des conventions commerciales avec la Tchécoslovaquie et l'Allemagne de l'Ouest (1954). Loi attribuée à ce dernier, la « grande rhêtra » (la Grande Loi), devait, pendant des siècles, fixer le destin d'une communauté élargie de citoyens – les « Égaux », ou plus exactement les « Pairs » – consacrant leur vie à la défense et à la politique de la cité pendant que des dépendants, les hilotes[16], cultivaient la terre civique et que les périèques[17] s'autoadministraient aux marges de la cité. J.-C.). Nous tenons les Grecs pour les « inventeurs » de la politique, et notre vocabulaire utilise des termes grecs pour désigner les principaux régimes, de « monarchie » à « démocratie ». J.-C., ses cités s'unirent en une Ligue («  Ligue étolienne  ») qui mit en échec la Macédoine. Ces difficultés provoquent la formation de partis d'opposition : Union démocratique de Papanastassíou, parti communiste appuyé sur un syndicat ouvrier puissant. Quand ces derniers entreprennent l'expédition des Dardanelles, Venizélos propose l'entrée en guerre de la Grèce, mais Constantin Ier l'oblige à démissionner (6 mars 1915). Dans la nuit du 20 au 21 avril 1967, deux jours avant l'ouverture de la campagne électorale, un coup d'État militaire est fomenté par un groupe d'officiers : le général Stylianós Pattakós, le colonel Gheórghios Papadhópoulos et le colonel Makarézos. Il ne faut bien évidemment pas confondre la mythologie grecque et la mythologie romaine. L'armée du roi de Perse Darios III, très supérieure en nombre, attend les Macédoniens sur les bords du Granique, petit fleuve côtier de Phrygie. J.-C.) : tyran de Syracuse (405-367 av. D'autant que les cultes poliades[22] sont renforcés d'éléments populaires. La résistance la plus efficace à la Macédoine est le fait d'États qui parviennent à regrouper de grandes régions sous leur autorité - la ligue Étolienne[49] (290 ?-189 av. S’en suit une période appelée les siècles obscurs, dont on sait peu de chose. Le sentiment anti-romain est particulièrement fort dans les couches les plus modestes de la population, car Rome, comme la Macédoine avant elle, contribue à renforcer le rôle politique des citoyens les plus riches. C'est une des ironies majeures de l'histoire de constater que les Grecs, lassés par des luttes fratricides, ont donné à un souverain macédonien – et par conséquent, pour eux, un semi-Barbare ! Le pays est dépeuplé ; toutes les richesses du pays sont aux mains de quelques privilégiés ; les exploitations d'agriculture intensive du 1er siècle av. Un coup d'État dirigé par Kallérghis (septembre 1843) l'oblige à promettre une Constitution, que vote, en mars 1844, une Assemblée nationale ; une Chambre des députés élue au suffrage censitaire et un Sénat nommé à vie par le roi sont établis, mais il n'y a pas de régime parlementaire. Après la prise de Trípolis (1821), en Morée, le congrès d'Épidaure, présidé par Mavrocordato, proclame l'indépendance de la Grèce (1er-12 janvier 1822). J.-C.) Cette révolte, connue sous le nom de « guerre lamiaque » se solde par un échec. J.-C., il défit la flotte athénienne à l'embouchure de l'Aigos-Potamos, petit fleuve de Thrace, et prit Athènes (404), dont il fit raser les murs. Le code qu'il rédigea v. 621 av. En fait, l'opposition est divisée. Unies pour la première fois sous un même commandement, les cités grecques libres ont triomphé des forces imposantes du Grand Roi, l'hellénisme de la monarchie barbare. Accusé de sacrilège (mutilation des statues d'Hermès), il s'enfuit et vécut quelque temps à Sparte ; il se réfugia ensuite auprès du satrape Tissapherne, puis se réconcilia avec Athènes ; à nouveau exilé, il mourut assassiné. J.-C.) lorsque le roi de Macédoine, Philippe V (qui régna de 221 à 179 av. J.-C. [50] Confédération de douze villes du Péloponnèse. Mais ils sont chassés d'Asie Mineure par les Turcs dès le deuxième quart du xive siècle. J.-C., les Achéens venus des abords de la mer Noire s'installent en Grèce et fondent des royaumes. Le roi remet alors ses pouvoirs à un régent, le métropolite d'Athènes, Monseigneur Damaskinos (Dhamaskinós). Il s'en distingue cependant par son caractère militaire fortement accusé (et probablement lié à la conquête). Les Slaves colonisent l'intérieur du pay… Non seulement les autres cités ont subi de lourdes pertes, mais encore les troubles intérieurs se sont nourris d'un conflit dont le caractère politique s'est progressivement affirmé : face à Athènes, rempart des démocrates, Sparte apparaît en effet comme le soutien des oligarques, où qu'ils soient. Les élections du 3 novembre 1963 et celles du 16 février 1964 sont marquées par le succès de l'Union des centres, dont le chef, Gheórghios Papandhréou, dirige dès lors le gouvernement. J.-C.) et Sparte[51] (227-221 av. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction . Il poursuit alors la démocratisation de la vie politique de la cité : l'archontat (dignité d'archonte, premier magistrat des républiques grecques) est ouvert à tous les citoyens, le tirage au sort est étendu à de nombreuses magistratures et une indemnité est versée aux détenteurs de fonctions politiques. Ils se font souvent la guerre, mais ils s'allient parfois contre des ennemis communs (siège de Troie vers 1230 av. C'est de ces troubles mêmes que naissent les solutions politiques destinées avant tout à reconstituer la communauté de la cité en crise. Parmi les civilisations helladiques[1] qui se sont développées dans le monde grec de 2600 à 1200 av. Dans cet ouvrage aux pages cartonnées et résistantes, nous en apprendrons davantage sur 10 thèmes de la Grèce antique, si influente à travers le monde, présentés avec détails et richesse : les premiers grecs, l’Athènes classique, une maison grecque, le théâtre, les jeux grecs (et les fameuses épreuves olympiques), le temple (avec un volet surprise sur les dieux de la mythologie), les mythes et … Mais Périclès réussit à briser leurs velléités d'indépendance. Chef du parti démocratique, il entraîna sa patrie dans l'aventureuse expédition contre la Sicile (415). J.-C.). Entre ces aristocrates et le reste de la population, plus ou moins intégrée à la cité (par le biais d'une assemblée du peuple sans grand pouvoir encore), les tensions, que certains facteurs d'évolution accentuent, se transforment bientôt en conflits ouverts. Par suite de l'offensive russe en Roumanie, les Allemands évacuent la Grèce en octobre 1944 ; les Britanniques débarquent au Pirée (14 octobre). pour recevoir les aides de la cité, aller en justice, etc. 80% du territoire de la Grèce sont des montagnes. [33] Alcibiade : général athénien (v. 450 - en Phrygie 404 av. En raison de son importance stratégique, la Grèce reçoit largement l'aide américaine et est admise dans l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) en février 1952. Il fut un des disciples de Socrate. À partir du 1er siècle après J.-C., Rome renonce à son hostilité vis-à-vis de la Grèce et se lance dans une politique plus conciliante. Elle est environnée d’une multitude d’îles, et sa côte est très découpée. Lorsque le pays accède à l’indépendance en 1832, après dix ans de lutte contre le pouvoir ottoman, il n’est encore qu’un petit royaume « protégé » par l’Angleterre, la France et la Russie. Elles ont néanmoins un rôle considérable dans la … – la possibilité de réaliser cette unité, puis à son fils de reprendre la lutte contre le Barbare. Adopté par Antonin, il lui succéda. Consul en 88 av. Samos connut sous son règne (533/532-522 av. [27] Victoire décisive de Thémistocle, à la tête de la flotte grecque, sur la flotte du Perse Xerxès 1er (deuxième guerre médique), non loin des côtes de l'île de Salamine, dans le golfe d'Égine. Parmi eux se détachent Coraï (Koraís), Smyrniote qui se rend en France pendant la Révolution, et Feraíos (Konstandínos Ríghas), qui séjourne à Vienne, où il fonde la société patriotique de l'Hétairie et compose la Marseillaise hellénique – livré aux Turcs, il sera exécuté en 1798. En 1866, Georges Ier favorise un soulèvement des Crétois contre les Turcs, mais non appuyé par les puissances, doit laisser l'île au sultan. GRÈCE ANTIQUE (Histoire) - La Grande-Grèce. Le monde mycénien se désagrège lentement, une vague de destructions atteint la majorité des palais dès la fin du XIIIe siècle et provoque des migrations vers les îles du Dodécanèse[2] et vers Chypre. J.-C.). J.-C.) - mais qui en arrivent aussi à se faire la guerre entre eux ou à agresser les cités récalcitrantes au combat, soucieuses de préserver avant tout leur autonomie.
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